L’opération d’affacturage, ou « factoring » dans son équivalence auprès de la langue de Shakespeare, est une technique de recouvrement de créances et une méthode de financement effectuée par les entreprises. L’affacturage consiste, en effet, à l’obtention d’un financement à sous-traiter auprès d’une entité financière spécialisée qui assurera sa gestion. Cette entreprise prestataire est appelée « l’affactureur », ou le « factor » dans la langue anglaise.

Choisir pour un factor qui peut ajuster sa trésorerie en temps réel

Chaque entreprise doit effectuer une surveillance continue du niveau de ses activités. Elle doit aussi effectuer des prévisions de trésorerie pour pouvoir cadrer et établir des stratégies d’amélioration et d’expansion. En effet, quel que soit son statut, et quelle que soit sa taille, chaque entreprise devrait disposer des informations concernant toutes ses activités et de ses patrimoines, et ce, d’une manière régulière. Sachant que le factoring est un moyen fiable et pertinent qui permet d’obtenir ces informations. Ainsi, pour mieux acquérir des données à jour et continuellement disponibles, il est conseillé de choisir une entreprise de factoring capable de faire un ajustement en temps réel de votre trésorerie. Sachant que le factoring, ou l’affacturage, ne peut pas être mobilisé pour les créances des particuliers. Il concerne uniquement les relations B2B, ou « business to business », qui régissent le commerce entre entreprises. Et la conclusion d’une coopération entre ces entreprises se décline vers la ratification d’un « contrat d’affacturage » qui cadre toutes les activités entretenues.

Coût de l’affacturage : opter pour une société qui offre un devis gratuit

D’une manière générale, une société d’affacturage peut se rémunérer à travers trois moyens, à savoir la commission de financement, la commission d’affacturage et les frais de dossier. Ainsi, il faut tenir en compte ces paramètres pécuniaires pour l’accomplissement à des analyses comparatives d’une série d’entreprises de factoring. De même, il faut également prendre en considération les éventuels « veiled cost », « privy cost », « covert cost », ou prix cachés, ou encore « hidden cost ». Il faut entendre par ces derniers un coût qui n’apparaît pas dans le système comptable. Souvent, les coûts cachés se montrent dans les coûts des activités ou dans ceux des produits. Bien évidemment, même si ces « covert cost » n’apparaissent pas, d’une manière expresse, dans le système comptable, ils admettent toujours des influences causales sur la performance financière de l’entreprise. Face à cette nécessité de comparaison, et afin d’éviter des mauvaises surprises liées au coût d’affacturage, il est conseillé de recourir à une demande de devis auprès de son prestataire. Il est donc plus favorable d’opter pour une entreprise dont la demande de devis est gratuite.

Vérifier la présence d’une commission minimale ou non

Même si les services de factoring admettent des coûts, certaines sociétés d’affacturage peuvent mettre à la disposition de son client des offres avec ou sans commissions minimales fixées. Il faut noter que la commission minimum est un montant que l’entreprise cliente doit verser à l’entreprise de factoring au début de chaque période convenue, qui peut être mensuelle, trimestrielle, semestrielle ou annuelle. Cette période peut varier suivant le fournisseur du service de factoring, ou en fonction du contrat d’affacturage conclu entre les deux parties contractantes. La commission minimale possède, en effet, une influence sur la rentabilité de votre entreprise. C’est pourquoi, il faut vérifier si cette commission existe ou non. Il faut bien souligner que l’existence d’une commission minimum n’est pas forcément une mauvaise chose, mais elle peut même vous offrir plus de garanties par rapport aux services achètes. Il faut bien souligner que l’existence d’une commission minimum n’est pas forcément une mauvaise chose, mais elle peut même offrir plus de garanties par rapport aux services achetés.

Comparer les conditions déterminantes des offres

Il existe une multitude d’affacturage entreprise, et les offres de service qu’elles confèrent semblent être homogènes (sans différences à première vue). Pourtant, ces propositions présentent quand même des différences. Il peut s’agir, par exemple, de la structure tarifaire, des modalités d’avances, ou d’autres éléments paramétriques. La comparaison peut s’avérer ainsi plus compliquée. À titre d’illustration, afin de mieux comprendre la situation, voici un exemple qui est basé sur deux offres. La première offre est proposée par une entreprise X qui octroie un taux de financement de trois pourcent, avec un taux de garantie de 20 %, et dont la prise en charge est de 30 jours. Quant à la seconde offre, elle est proposée par l’entreprise B avec un taux de 3,43 % et une prise en charge de 30 jours aussi. Mais le taux de garantie est de 10 %. Dans ce scénario, le taux d’avance s’établit à 80 % chez l’entreprise A, contre 90 % auprès de l’entreprise B. Il faut à noter que les « mécaniques financières » qui régissent ces offres ne sont pas similaires. Il faut donc se référer à une évaluation du coût pour chaque unité monétaire (euro, dollar, etc.) investie.